Ce n’est pas parce qu’on doit le faire qu’on doit le faire. C’est parce qu’on doit le faire.
N’était-ce qu’une suggestion ? C’était là la question. Ce n’est pas la même chose.
Peut-on croire que ce livre n’a pas de sens ? Je n’en ai aucun retour. Je n’ai pas non plus de retours négatifs. Si, un, et j’ai la preuve : Depuis que je publiais ce livre, une page était consacrée à des tests pour éducateur, dont l’un proposait d’étudier les bienfaits d’une touche de sexualité chez l’enfant —photo nue comparée à l’appui—, système vu comme élément moteur le plus touché par la société civile et militaire, vous dire l’importance. Hé bien cette photo a été marquée sur mon ordinateur de l’extérieur par un procédé bien connu anti-photo-pédophile qui simule des erreurs. N’y a-t-il pas à la fois tous les combles remarquables de la toxicité des toxicités ?
Ne risque-t-on pas d’imaginer un système dans tous les ordinateurs qui élimine automatiquement toutes les apparentes nocivités, et qui réagit automatiquement aux réactions, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, plus même un secret, plus même un souvenir ? Il ne faudra pas demander aux fabricants d’OGM de nous organiser un être qui n’a pas besoin d’entrer en paradoxe. Ni besoin d’apparences. Sinon, on aura toujours besoin d’eux. Alors…
Quelle est la différence entre un politique et un dirigeant de Canal+, avec qui presque tout le monde sera d’accord pour qu’il utilise la proportion d’argent optimale pour attirer le client pendant le temps de télé décodée ? En passant par le Directeur de France Télévision, qui adore les contre-rafles, ce qui revient au même ? Ou Coca en train de vendre à Mac Donald un produit qui donne faim alors qu’en fait il donne soif ? En passant par la réaction, qui ne serait pas la réaction des réactions.
On cite « l’enfer, c’est les autres. » (J.-P. S.) On peut conclure, comme son auteur, qu’une société fonctionne au mieux lorsqu’on parvient au « plaisir des rencontres », lorsqu’on a abouti. C’est particulièrement important à la période de l’enfance.
Les personnalités appréciées effectuent une recherche forte parmi d’autres en émotions, avec leurs logiques et rêves. Le rêve est la distillation des sources avec en alambic tous les buts et les respects. Le respect, c’est un peu la récupération du but des autres.
On croit souvent que ce sont les actes qu’on apprécie, mais il faut d’abord se les représenter. Donc les sentir, les désirer, les imaginer. Le rêve, par principe, même s’il est constitué de désirs, on ne peut pas vraiment y accéder. Un peu quand-même. Donc, quel que soit le temps et l’histoire initiale, une histoire imaginaire a pour principe le but pur, hypothétique, sans tenir compte des paradoxes et leurs réflexions, qui viennent "intenter" des réalités. Donc le rêve est le moteur et la seule énergie de l’indépendance, de la cohérence et de la sagesse.
Vous me direz, ce n’est pas si évident que ça. Je vous répondrais : Vos réalités contiennent mon rêve. C’est pour ça que vous y croyez.
Donc rêves, d’une liberté, cohérente avec elle-même, rend-lui tes désirs, afin de pouvoir concevoir tes ‘armes’, des outils pour sa compréhension, sa transmission et sa déconjuration cohérente, pour l’assagir et le concrétiser.
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